« Retour vers le ludique », 5 et 6 septembre 2015

Je suis pile poil à 2000 points  avec la division Suchet.

puisque 1815 est le sujet : pourrais-je ramener du grand-breton ? sinon qu'ont les autres participants comme armées ? (vu pour les françouzes d'alain)

Franck,

Tu ne dors pas assez, alors tu n'as pas les yeux en face des trous quand tu lis les réponses !
1815 N'EST PAS le sujet.

Tu amènes l'armée que tu veux.

Et puis j'aimerais savoir si Alain et toi venez dimanche ?

Je suis perdu, c  est 1815, 2000 ou 2015 points......

oops...
oui on vient !

Bonjour à tous,
Nous ne serons pas présents, mais je vous souhaite un bon week, et des supers parties.
N'oubliez pas les photos.
Amicalement.
@ +Michel.

Alain, le taquin !

Franck, merci d'avoir répondu.

Michel, merci de penser à nous.
(je dois penser à prendre mon appareil photo )

L'appareil photo oui mais n'oublie pas le plus important :
TOI


PS : J'aurai tes 4 pièces d'artillerie promises.....

Franck,

Pour répondre à ta question :

franckT a écrit:Sinon qu'ont les autres participants comme armées ?

Il y aura une armée anglaise (Christophe), une armée française (Alain) et une armée franco-alliés (Thierry).
Tu prends ce que tu veux.

 
En fait je viens de peindre une armée mais comme ce sont des Français encore ; je pensais sinon prendre une vieille (& donc moins jolie) armée plus proche des troupes de Christophe...

Merci à tous pour cet excellent dimanche d'autant qu'on en avait besoin.......

Alain a raison, nous avons passé un week-end très agréable : accueil chaleureux, nourriture de qualité à prix raisonnable, salle spacieuse, grandes tables, chaises en nombre suffisant, règle qui va bien ( ) et surtout beaucoup d'amis.

Ci-dessous, un ami dubitatif : « Comment sauver mes artilleurs ?  »


Alain a une armée costaude, mais qui dit unités costaudes dit unités chères et qui dit unités chères dit peu d'unités.

L'aile droite de son armée était donc repliée, ancrée sur un village dont l'accès par l'arrière était verrouillé par un bataillon en carré (il aurait eu le même effet en ligne puisqu'un carré n'a aucun bonus mais Alain voulait absolument utiliser son support spécial pour bataillon en carré !)


L'aile gauche de son armée était constituée d'une brigade d'infanterie légère à… deux bataillons !

ici vous voyez leur position initiale : tirailleurs (détachés du 1^er bataillon), puis le 1^er bataillon soutenu par le 2^e.

Quand Alain a commencé à déplacer ses tirailleurs en oblique en direction de la zone d'abris légers, je lui ai proposé de repositionner son régiment d'infanterie légère derrière la zone (en le décalant vers le bord de table) s'il voulait être le premier à entrer dans la zone, ce qu'il a fait.



Position de départ :



Position à l'avant-dernière période :



Alain a ordonné à sa brigade de gauche de se replier face à ma brigade de droite qui comptait quatre bataillons (un bataillon Vétéran ApT à 12 figs, trois bataillons Aguerris : 2 à 18 figs et un à 12). J'occupe donc la zone d'abris légers (objectif tactique : 30 points de victoire).

Il a posé ses unités normalement invisibles (représentées par les figuratifs en papier bleu dans les zones d'abris légers ou derrière la ligne de crête) pour le plaisir de voir ses figurines mais aucune n'est sortie pour se battre ! La peur ?

Pour le reste c'est un combat au feu : artillerie d'Alain contre mes tirailleurs.
J'amenai ma cavalerie pour prendre les pièces de son aile droite une fois ses artilleurs éliminés mais nous avons arrêté avant qu'elle puisse donner.

Thierry.

Merci pour les photos !
Bien vu la prise de la batterie, dommage que tu n'en aies pas eu le temps, cela aurait été un véritable coup d’éclat vu son emplacement.
Amicalement.
@ +Michel.

qq autres photos...
gros plan de qq superbes figurines d'alain :

rouges anglois contre rouges danois :

loi des esprits, une table prêt de nous (période couverte par S & B) :

encore de la guerre de 7 ans, mais en 10mm :

Après la bataille contre Alain voici un autre extrait remarquable tiré cette fois de la bataille contre Christophe.

Voilà pourquoi j'ai manœuvré ma compagnie d'artillerie à cheval attelée : lorsque nous avons posé nos unités visibles j'ai vu que les figuratifs de Christophe entre les zones d'abris légers n'étaient pas des leurres (cercle bleu) mais de la chair (hanovrienne) pour mes canons. Donc, après avoir déplacé ma compagnie d'artillerie (cercle rouge) j'ai fait « coulisser » ma ligne de tirailleurs (ovale rouge) pour la démasquer.



Voici la vue d'ensemble à la fin de la première période de jeu. Mes tirailleurs (cercles rouges) ont avancé sur les ailes, suivis de leur soutien en ordre serré. Sur son aile gauche, Christophe a avancé une graaande ligne de tirailleurs figuratifs (cercle bleu) – les figurines ne sont pas posées sur la table puisqu'aucune de mes unités ne voit les figuratifs et surtout pas celles qui avancent vers le mur :



La brigade située à l'extrême droite de mon armée avance vers l'ennemi.
Trois pelotons des Jägers garde westphaliens (ovale rouge dans la zone d'abris légers) ont été détachés en ordre ouvert devant les trois autres restés en colonne.
Le peloton de voltigeurs du 1^er bataillon du 6^e régiment de Ligne westphalien a été détaché en ordre dispersé devant son bataillon qui est en ligne.
Le 2^e bataillon du 6^e régiment de Ligne westphalien également en ligne soutient le 1^er.
Le 3^e bataillon du 6^e régiment de Ligne westphalien suit en colonne.
Les deux colonels ne sont pas peints mais le général de la brigade l'est.



L'aile gauche de Christophe :
Une graaande ligne de tirailleurs figuratifs (grand ovale bleu) derrière un graaand mur obstacle linéaire dur. Les figurines (petit ovale bleu) posées sur la table devaient avancer vers la zone d'abris légers mais après mûres réflexions et calculs elles sont restées derrière le mur. Je me demande bien pourquoi…



Mes tirailleurs continuent bravement d'avancer. Vive les voltigeurs westphaliens !
Soudain, ils arrivent à distance de visibilité, donc de confrontation, du mur ! Aïe, aïe, aïe… que se cache-t-il derrière ?
L'ordre claque : « Stand up, boys ! » et une longue ligne de rifles en ordre étendu se révèle.
Les Jägers garde westphaliens ont avancé silencieusement dans les vergers entourés de haies et se postent en lisière de la zone. Comme ils sont à plus de 8 cm du mur ils ne sont pas vus, mais ne voient pas non plus sauf les rifles qui viennent de se découvrir.



Et c'est le drâââme…
Christophe danse en chantant : « La surprise, la surprise, la surprise ! »
Non ?
Ah, j'ai dû rêver alors…
Les rifles tirent (puisqu'ils se démasquent en tirant), une partie sur les voltigeurs et une partie sur le peloton de gauche de la ligne en ordre serré (grâce à l'Anglette on voit qu'une figurine des rifles touche en partie).
Comme la ligne est à plus de 8 cm de ses tirailleurs il n'y a pas de pénétration (il a l'œil le vieux… colonel).
Malgré tout, une figurine tombe et ils restent des pertes.
Le peloton de voltigeur reçoit automatiquement un marqueur esquive.



Enfin, l'unité doit tester puisqu'elle est surprise. Je vous passe les détails de calcul, elle obtient « Recul » au test de moral et reçoit aussitôt le marqueur correspondant :



La période suivante le peloton de voltigeurs esquive et réintègre sa place dans la ligne (il est sans formation) et le bataillon recule donc de 8 cm.



Lors son recul, le bataillon essuie le feu des rifles et perd trois figurines (avec le report de la période précédente), malheureusement le colonel qui était au contact – puisqu'il y était quand le bataillon a testé son moral – est blessé et retiré de la table (le socle, cercle rouge, correspond maintenant à un lieutenant-colonel).
La période suivante, le 2^e bataillon du 6^e de Ligne westphalien avance, effectue un passage de ligne avec le 1^er (flèche rouge) et se retrouve, ipso facto, sous le feu des rifles. Pendant tout ce temps les jägers gardes westphaliens ont terminé leur déploiement en tirailleurs et occupent toute la lisière de la zone d'abris légers.



Mais le 2^e bataillon du 6^e de ligne westphalien n'est pas seul sous le feu des rifles…
Le vieux général en chef a enfin compris qu'il devait avancer tout son monde !
La brigade hollandaise sort donc de la zone d'abris légers : le bataillon du 8^e de Ligne hollandais à droite (donc à la gauche du 6^e de Ligne westphalien), le 1^er bataillon du 9^e de Ligne hollandais à gauche, soutenu par le 2^e bataillon, lui-même suivi du bataillon de voltigeurs réunis hollandais. il y a encore des pertes – maudits rifles et maudite grande batterie anglaise calibre 9 de 12 pièces – mais elles sont réparties et, ainsi, le 2^e bataillon du 6^e de Ligne westphalien ne perd que 2 figurines.



Pendant ce temps, la brigade garde westpalienne a progressé vers la zone de bois dense : les jägers carabiniers westphaliens devant en ordre ouvert, suivis du bataillon de grenadier de la Garde westphalienne et leur droite couverte par l'escadron des Gardes d'Honneur westphaliens.
Sur la photo, on voit le bataillon de landwehr hanovrienne (cercle bleu) qui a avancé et pivote vers la brigade garde westphalienne après que son général de brigade ait eu bien du mal à changer son marqueur d'attitude !


Vengeance, la suite sera sanglante puisque le 2^e bataillon du 6^e de Ligne westphalien va faire dérouter les rifles et prendre le mur ! Mais vous ne verrez pas de photo car j'étais trop concentré sur l'action pour penser à en prendre.