Français contre Prussiens.
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Français contre Prussiens.
Bonjour à tous,
Nouvelle bataille et nouvelle initiation pour Denis (Masséna) et Thibaut (mon fils, tous les deux seront du voyage le 25 & 26 mai). Ils jouent Français face à Stéphane qui lui joue les Prussiens.
Tout d'abord le terrain.
Les Français sont sur droite de la photo. Ils occupent donc le seul village "double" pour l'occasion.
Vue de l'autre côté:
Ensuite les armées et leurs déploiements.
Là il va falloir faire preuve d'un peu d'imagination, en ce qui concerne les Français il s'agit du budget calculé pour le "tournoi", par contre pour les Prussiens, Stéphane a monté un budget composé que d'unités de la garde, mais il a du le soir même utiliser des figurines autrichiennes pour jouer son armée ! En effet Martial à qui appartient l'armée Prussienne est entrain de la rénover et de revoir le soclage pour la fin mai (10 ans qu'elle n'était par sortie de sa boite ).
Voici les Français :
et maintenant les "Prussiens" :
Nous nous sommes arrêtés pour ce premier vendredi en fin de première période !
Pas beaucoup de temps de jeu mais beaucoup d'explications , de plus nous avons essayé de gagner un peu de temps sur le placement, en déployant les armées de chaque côté d'un paravent, ceci nous évite de poser des figuratifs (que nous n'avons pas )et les leurres (que nous n'avons pas non plus ).
Voici le flanc droit Français en fin de 1° période:
Le flanc gauche Prussien :
Le flanc droit Prussien:
Progression des Français sur le centre :
La suite la semaine prochaine...
@ Michel.
Nouvelle bataille et nouvelle initiation pour Denis (Masséna) et Thibaut (mon fils, tous les deux seront du voyage le 25 & 26 mai). Ils jouent Français face à Stéphane qui lui joue les Prussiens.
Tout d'abord le terrain.
Les Français sont sur droite de la photo. Ils occupent donc le seul village "double" pour l'occasion.
Vue de l'autre côté:
Ensuite les armées et leurs déploiements.
Là il va falloir faire preuve d'un peu d'imagination, en ce qui concerne les Français il s'agit du budget calculé pour le "tournoi", par contre pour les Prussiens, Stéphane a monté un budget composé que d'unités de la garde, mais il a du le soir même utiliser des figurines autrichiennes pour jouer son armée ! En effet Martial à qui appartient l'armée Prussienne est entrain de la rénover et de revoir le soclage pour la fin mai (10 ans qu'elle n'était par sortie de sa boite ).
Voici les Français :
et maintenant les "Prussiens" :
Nous nous sommes arrêtés pour ce premier vendredi en fin de première période !
Pas beaucoup de temps de jeu mais beaucoup d'explications , de plus nous avons essayé de gagner un peu de temps sur le placement, en déployant les armées de chaque côté d'un paravent, ceci nous évite de poser des figuratifs (que nous n'avons pas )et les leurres (que nous n'avons pas non plus ).
Voici le flanc droit Français en fin de 1° période:
Le flanc gauche Prussien :
Le flanc droit Prussien:
Progression des Français sur le centre :
La suite la semaine prochaine...
@ Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
- Messages : 291
Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Merci Michel, pour ce début de compte rendu.
Je suis ravi que Silex & Baïonnette fasse sortir les armées de leurs boîtes !
Je vois que vous avez fabriqué des beaux éléments de terrain et la table ressemble à ce qu'on obtient habituellement lors des tests.
Les grincheux critiqueront les formes rectangulaires mais elles permettent d'éviter bien des problèmes en compétition. Na ! (Smiley qui tire la langue.)
Je ne me rends pas bien compte des distances, mais s'il y a des marqueurs d'attitude « Attaquer » je pense qu'il va y avoir de l'action en deuxième période !
Je ne fais pas d'autres commentaires puisque la partie n'est pas terminée.
Je suis ravi que Silex & Baïonnette fasse sortir les armées de leurs boîtes !
Je vois que vous avez fabriqué des beaux éléments de terrain et la table ressemble à ce qu'on obtient habituellement lors des tests.
Les grincheux critiqueront les formes rectangulaires mais elles permettent d'éviter bien des problèmes en compétition. Na ! (Smiley qui tire la langue.)
Je ne me rends pas bien compte des distances, mais s'il y a des marqueurs d'attitude « Attaquer » je pense qu'il va y avoir de l'action en deuxième période !
Je ne fais pas d'autres commentaires puisque la partie n'est pas terminée.
Re: Français contre Prussiens.
Effectivement Thierry, nous avons ressorti nos vieilles figurines, elles se sont bien reposées après avoir bien haché menu nos adversaires (surtout les autrichiens), il y a bien un peu de poussière, mais le vent des boulets aura tôt fait d'enlever tout ça !!!
Bon, ce soir la suite !
A bientôt.
Denis
Bon, ce soir la suite !
A bientôt.
Denis
Masséna- Possesseurs S&B
- Messages : 2
Date d'inscription : 11/04/2013
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour à tous.
Finalement nous n'avons pu continuer hier soir faute de joueur , mais ceci nous a permis avec Denis de revoir certaines phases :
La phase changements d'ordre, qui semble acquise.
La Phase de confrontation, ou nous avons testé une rencontre de cavalerie puis l' attaque d'une unité en ordre ouvert par une colonne. Ceci donnant lieu à des questions que je répartirai dans chaque sujet.
La suite de cette partie est programmée pour vendredi prochain.
@ + Michel.
Finalement nous n'avons pu continuer hier soir faute de joueur , mais ceci nous a permis avec Denis de revoir certaines phases :
La phase changements d'ordre, qui semble acquise.
La Phase de confrontation, ou nous avons testé une rencontre de cavalerie puis l' attaque d'une unité en ordre ouvert par une colonne. Ceci donnant lieu à des questions que je répartirai dans chaque sujet.
La suite de cette partie est programmée pour vendredi prochain.
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
- Messages : 291
Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Fin de la deuxième période : vue des lignes Françaises
Sur le flanc droit la brigade d'infanterie Française a continué sa progression sans que cela ne semble intimider la cavalerie Prussienne qui lui fait face.
La batterie à pied Française a légèrement glissé sur sa droite (mouvement oblique à vitesse réduite sur la période ) pour ne pas être masquée par la ligne située sur sa gauche, en contre partie elle ne tirera pas.
Pendant ce temps sur le centre,
le 13° léger a continué sa progression dans les labours, mais cette "Promenade" va vite tourner au cauchemar sous le feu meurtrier des Jägers de la Garde Prussienne.
De l'autre côté du champs de bataille, les Prussiens ont pénétré dans le bois, pendant que sur leur flanc droit leur cavalerie c'est déployée pour faire face au 8° lancier. La batterie à cheval Française va commencer son travail de sape sur la cavalerie ennemie.
3° période sur Flanc droit Français.
Toujours aucune réaction de la cavalerie Prussienne bien que les voltigeurs commencent à leurs infliger des pertes ! ? Visiblement un problème dans les ordres !
De l'autre côté,
Les bataillons Prussiens s'apprêtent à déboucher du bois, les premières pertes se font ressentir sur l'escadron faisant face à la batterie à cheval, le 8° lancier formé en muraille est maintenant en position et commence à avancer vers les Gardes du corps Prussiens.
La batterie à cheval de la garde Prussienne ne peut toujours pas se déployer pour soutenir sa cavalerie. Nous devrons apprendre à gérer l'espace , nous avons tendance à jouer trop serré !
Sur le centre les Jägers ont fait un carnage (les Français perdent 6 figurines en trois périodes de jeu. Pour deux bataillons, le test de moral n'est pas loin !)
Ils est temps pour les Jägers de laisser passer des troupes fraiches.
Un peu plus à gauche le premier test de confrontation:
Un bataillon de la Garde charge une premier compagnie de voltigeurs du 17°.
Voici la résolution du test de confrontation:(pour vérification par Thierry).
Prussiens
Garde : 7
Aléatoire : 0
Effectifs 3/4 : -2 (le bataillon était à 15 figurines)
Soutien même regt : 2
Bonus d'attaque : 2
Par tir faisant 0.5 PP : -1
Sous feu de tirailleurs :-1
Colonel : 1
Brigadier visible : 1
Total : 9
Voltigeurs Français
Elite : 6
aléatoire : 1
Unité mère en soutien : 2
ordre ouvert en plaine : -2
officier visible : 1
Total : 8
Résultat: 1 . Les Prussiens s'arrêtent font un feu incontrôlé qui ne donnera aucune perte, les Français font un feu d'arrêt : 12 PP ! test sur le colonel qui prend une balle et meurt sur le coup (figurine en plomb c'est pas une vie !).
Question : Les voltigeurs et les Prussiens sont toujours à distance de confrontation, donc nouveau test sur la prochaine période ?
Voilà fin de la séance.
A la semaine prochaine pour la suite de cette bataille.
@ + Michel.
Sur le flanc droit la brigade d'infanterie Française a continué sa progression sans que cela ne semble intimider la cavalerie Prussienne qui lui fait face.
La batterie à pied Française a légèrement glissé sur sa droite (mouvement oblique à vitesse réduite sur la période ) pour ne pas être masquée par la ligne située sur sa gauche, en contre partie elle ne tirera pas.
Pendant ce temps sur le centre,
le 13° léger a continué sa progression dans les labours, mais cette "Promenade" va vite tourner au cauchemar sous le feu meurtrier des Jägers de la Garde Prussienne.
De l'autre côté du champs de bataille, les Prussiens ont pénétré dans le bois, pendant que sur leur flanc droit leur cavalerie c'est déployée pour faire face au 8° lancier. La batterie à cheval Française va commencer son travail de sape sur la cavalerie ennemie.
3° période sur Flanc droit Français.
Toujours aucune réaction de la cavalerie Prussienne bien que les voltigeurs commencent à leurs infliger des pertes ! ? Visiblement un problème dans les ordres !
De l'autre côté,
Les bataillons Prussiens s'apprêtent à déboucher du bois, les premières pertes se font ressentir sur l'escadron faisant face à la batterie à cheval, le 8° lancier formé en muraille est maintenant en position et commence à avancer vers les Gardes du corps Prussiens.
La batterie à cheval de la garde Prussienne ne peut toujours pas se déployer pour soutenir sa cavalerie. Nous devrons apprendre à gérer l'espace , nous avons tendance à jouer trop serré !
Sur le centre les Jägers ont fait un carnage (les Français perdent 6 figurines en trois périodes de jeu. Pour deux bataillons, le test de moral n'est pas loin !)
Ils est temps pour les Jägers de laisser passer des troupes fraiches.
Un peu plus à gauche le premier test de confrontation:
Un bataillon de la Garde charge une premier compagnie de voltigeurs du 17°.
Voici la résolution du test de confrontation:(pour vérification par Thierry).
Prussiens
Garde : 7
Aléatoire : 0
Effectifs 3/4 : -2 (le bataillon était à 15 figurines)
Soutien même regt : 2
Bonus d'attaque : 2
Par tir faisant 0.5 PP : -1
Sous feu de tirailleurs :-1
Colonel : 1
Brigadier visible : 1
Total : 9
Voltigeurs Français
Elite : 6
aléatoire : 1
Unité mère en soutien : 2
ordre ouvert en plaine : -2
officier visible : 1
Total : 8
Résultat: 1 . Les Prussiens s'arrêtent font un feu incontrôlé qui ne donnera aucune perte, les Français font un feu d'arrêt : 12 PP ! test sur le colonel qui prend une balle et meurt sur le coup (figurine en plomb c'est pas une vie !).
Question : Les voltigeurs et les Prussiens sont toujours à distance de confrontation, donc nouveau test sur la prochaine période ?
Voilà fin de la séance.
A la semaine prochaine pour la suite de cette bataille.
@ + Michel.
Dernière édition par L'Aigle Rouennais le Lun 6 Mai 2013 - 19:21, édité 1 fois
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
- Messages : 291
Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel
Comme annoncé, dimanche j'étais à Courcouronnes chez les Grenadiers de l'Essonne, je reviens donc vers vous.
Merci encore de poster le compte rendu de votre partie, c'est très intéressant de la suivre. Comme elle n'est pas terminée je me contenterai de répondre à tes sollicitations.
Page 79, paragraphe « Comportement des tirailleurs », le premier alinéa dit : « • Des tirailleurs reculent, se replient ou esquivent pour échapper à une charge. » En fait, ils évitent la confrontation et restent donc au-delà de la distance de confrontation.
Page 80, chapitre « III Mouvements », paragraphe « C. L’unité, fraction d’unité, ciblée recule, se replie ou esquive », dans ce paragraphe vous trouverez comment gérer les mouvements des tirailleurs et de l'unité qui les charge.
Le peloton de tirailleurs doit parcourir la distance nécessaire pour rester au-delà de la distance de confrontation.
Si les jägers-gardes prussiens n'arrivent pas à distance de confrontation des voltigeurs, ils n'ajoutent pas la distance de confrontation à leur mouvement et ne sont pas désorganisés.
En fait, on peut considérer que les jägers ont fait un mouvement d'approche (voir page 78) pour chasser les tirailleurs.
1. Les unités au combat s'alignaient parallèlement toujours face à face.
2. Les tirailleurs formaient une ligne continu, surtout quand ils appartenaient à la même unité.
Ici, les deux pelotons de tirailleurs français ne sont pas alignés parallèlement face aux jägers prussiens et, apparemment, ne se contactent pas.
L'unité mère n'a pas cette contrainte de l'alignement face à l'ennemi (du moment que les pelotons détachés sont bien entre elle et l'ennemi).
Il semblait avoir évoqué ces points… Peut-être devrais-je préciser tout cela ?
Donc, pour en revenir à votre situation, il n'y a pas de test de confrontation.
Ceci dit, voyons quand même la résolution du vôtre :
Les Prussiens :
– Garde : 7
– Aléatoire : 0
– Effectif 5/6 (et non 3/4) : -2 (le bataillon a perdu 2 figurines sur 15)
– Soutien même régiment : 2
– Bonus d'attaque : 2
– Par tir faisant 0,5 PP : -1
– Sous feu de tirailleurs : -1
– Colonel au contact : 1
– Brigadier visible à demi-portée de fusil : 1
Total : 9
Les voltigeurs français :
– Élite : 6
– Aléatoire : 1
– Unité mère en soutien : 2
– Ordre ouvert en plaine : -2
– Officier supérieur hiérarchique visible à demi-portée de fusil : 1
Total : 8
Différence = 1.
Si les 2 pelotons de voltigeurs avaient été au contact, le front des jägers (22,5 cm) aurait été supérieur au leur (18 cm), les voltigeurs auraient donc eu un malus (-1) car débordés sur un côté par de l'infanterie et la différence était de 2 en faveur des jägers.
Important : les unités cherchaient toujours le face à face, il suffit donc de soustraire les fronts pour savoir qui déborde l'autre (d'un ou des deux côtés). C'est simple et ça évite les manœuvres d'optimisation à tout prix en tournoi…
Peut-être dois-je l'ajouter quelque part ?
Pour rappel : les tirailleurs ApT ne bénéficient pas du feu d'arrêt puisqu'ils ont déjà le bonus « multiplier par 2 ».
Attention : il ne faut pas oublier la dégradation de la cohésion.
Par exemple : une unité qui a chargé et obtenu arrêt est désorganisée, si elle obtient encore arrêt la période suivante, elle passe sans formation et la 3e fois elle perdra ses bases de sous-unité.
Comme annoncé, dimanche j'étais à Courcouronnes chez les Grenadiers de l'Essonne, je reviens donc vers vous.
Merci encore de poster le compte rendu de votre partie, c'est très intéressant de la suivre. Comme elle n'est pas terminée je me contenterai de répondre à tes sollicitations.
Échec au test de commandement pour changer le marqueur d'attitude, je présume ?L'Aigle Rouennais a écrit:Toujours aucune réaction de la cavalerie prussienne bien que les voltigeurs commencent à leur infliger des pertes ! ? Visiblement un problème dans les ordres !
Les Grenadiers de l'Essonne l'ont constaté lors de mes explications et de la petite partie qui a suivi, il ne faut pas serrer les unités (et encore, je n'ai rien dit pour l'intervalle de 9 cm non respecté autour des batteries) !La batterie à cheval de la garde prussienne ne peut toujours pas se déployer pour soutenir sa cavalerie. Nous devrons apprendre à gérer l'espace, nous avons tendance à jouer trop serré !
Et peut-être la conclusion de la partie ?Sur le centre les Jägers ont fait un carnage (les Français perdent 6 figurines en trois période de jeu. Pour deux bataillons, le test de moral n'est pas loin !)
Donc, si je comprends bien, la photo représente le bataillon de jägers de la garde prussienne en ordre serré (entre le bois et la zone difficile) face à un peloton de voltigeurs en ordre ouvert (à droite, en oblique par rapport à la zone difficile).Un peu plus à gauche le premier test de confrontation :
Un bataillon de la Garde charge un peloton de voltigeurs du 17e.
Page 79, paragraphe « Comportement des tirailleurs », le premier alinéa dit : « • Des tirailleurs reculent, se replient ou esquivent pour échapper à une charge. » En fait, ils évitent la confrontation et restent donc au-delà de la distance de confrontation.
Page 80, chapitre « III Mouvements », paragraphe « C. L’unité, fraction d’unité, ciblée recule, se replie ou esquive », dans ce paragraphe vous trouverez comment gérer les mouvements des tirailleurs et de l'unité qui les charge.
Le peloton de tirailleurs doit parcourir la distance nécessaire pour rester au-delà de la distance de confrontation.
Si les jägers-gardes prussiens n'arrivent pas à distance de confrontation des voltigeurs, ils n'ajoutent pas la distance de confrontation à leur mouvement et ne sont pas désorganisés.
En fait, on peut considérer que les jägers ont fait un mouvement d'approche (voir page 78) pour chasser les tirailleurs.
1. Les unités au combat s'alignaient parallèlement toujours face à face.
2. Les tirailleurs formaient une ligne continu, surtout quand ils appartenaient à la même unité.
Ici, les deux pelotons de tirailleurs français ne sont pas alignés parallèlement face aux jägers prussiens et, apparemment, ne se contactent pas.
L'unité mère n'a pas cette contrainte de l'alignement face à l'ennemi (du moment que les pelotons détachés sont bien entre elle et l'ennemi).
Il semblait avoir évoqué ces points… Peut-être devrais-je préciser tout cela ?
Donc, pour en revenir à votre situation, il n'y a pas de test de confrontation.
Ceci dit, voyons quand même la résolution du vôtre :
Les Prussiens :
– Garde : 7
– Aléatoire : 0
– Effectif 5/6 (et non 3/4) : -2 (le bataillon a perdu 2 figurines sur 15)
– Soutien même régiment : 2
– Bonus d'attaque : 2
– Par tir faisant 0,5 PP : -1
– Sous feu de tirailleurs : -1
– Colonel au contact : 1
– Brigadier visible à demi-portée de fusil : 1
Total : 9
Les voltigeurs français :
– Élite : 6
– Aléatoire : 1
– Unité mère en soutien : 2
– Ordre ouvert en plaine : -2
– Officier supérieur hiérarchique visible à demi-portée de fusil : 1
Total : 8
Différence = 1.
Si les 2 pelotons de voltigeurs avaient été au contact, le front des jägers (22,5 cm) aurait été supérieur au leur (18 cm), les voltigeurs auraient donc eu un malus (-1) car débordés sur un côté par de l'infanterie et la différence était de 2 en faveur des jägers.
Important : les unités cherchaient toujours le face à face, il suffit donc de soustraire les fronts pour savoir qui déborde l'autre (d'un ou des deux côtés). C'est simple et ça évite les manœuvres d'optimisation à tout prix en tournoi…
Peut-être dois-je l'ajouter quelque part ?
Il me semble que vous avez multiplié les pertes deux fois, non ?Les Prussiens s'arrêtent, font un feu incontrôlé qui ne donnera aucune perte, les Français font un feu d'arrêt : 12 PP !
Pour rappel : les tirailleurs ApT ne bénéficient pas du feu d'arrêt puisqu'ils ont déjà le bonus « multiplier par 2 ».
test sur le colonel qui prend une balle et meurt sur le coup (figurine en plomb c'est pas une vie !)
Oui, deux unités à distance de confrontation testent tant qu'il n'y a pas de décision.Question : Les voltigeurs et les Prussiens sont toujours à distance de confrontation, donc nouveau test sur la prochaine période ?
Attention : il ne faut pas oublier la dégradation de la cohésion.
Par exemple : une unité qui a chargé et obtenu arrêt est désorganisée, si elle obtient encore arrêt la période suivante, elle passe sans formation et la 3e fois elle perdra ses bases de sous-unité.
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Thierry,
J'ai pu voir que ton dimanche s'était agréablement passé et en plus de nouveaux joueurs intéressés par S&B .
En tout cas merci pour tes réponses.
@ + Michel.
J'ai pu voir que ton dimanche s'était agréablement passé et en plus de nouveaux joueurs intéressés par S&B .
Non, je pense que l'ordre qui a été donné à cette cavalerie n'est pas adapté (Défendre) et que le Général Prussien trop occupé n'a pas encore changé cet ordre.
<blockquote>
L'Aigle Rouennais a écrit: Toujours aucune réaction de la cavalerie prussienne bien que les voltigeurs commencent à leur infliger des pertes ! ? Visiblement un problème dans les ordres !</blockquote>Échec au test de commandement pour changer le marqueur d'attitude, je présume ?
Pas sur ! à la fin de la séance prochain nous ferons le total des objectifs atteints.
<blockquote>
Sur le centre les Jägers ont fait un carnage (les Français perdent 6 figurines en trois périodes de jeu. Pour deux bataillons, le test de moral n'est pas loin !)</blockquote>Et peut-être la conclusion de la partie ?
En fait c'est un autre bataillon de Garde, on le voit mieux sur la vue d'ensemble de la photo en tête de ce paragraphe.Donc, si je comprends bien, la photo représente le bataillon de jägers de la garde prussienne en ordre serré (entre le bois et la zone difficile) face à un peloton de voltigeurs en ordre ouvert (à droite, en oblique par rapport à la zone difficile).
En fait les tirailleurs n'ont pas bougé, c'est le bataillon Prussien qui a légèrement pivoter pour éviter la zone de labours.1. Les unités au combat s'alignaient parallèlement toujours face à face.
Ils sont issus de deux bataillons différents.2. Les tirailleurs formaient une ligne continu, surtout quand ils appartenaient à la même unité.
Ici, les deux pelotons de tirailleurs français ne sont pas alignés parallèlement face aux jägers prussiens et, apparemment, ne se contactent pas.
, je crois que nous avons encore des progrès à faire!Il semblait avoir évoqué ces points… Peut-être devrais-je préciser tout cela ?
Evidemment, cela simplifie tout de suite la situation !Donc, pour en revenir à votre situation, il n'y a pas de test de confrontation.
Ça ne peut pas faire de mal !Important : les unités cherchaient toujours le face à face, il suffit donc de soustraire les fronts pour savoir qui déborde l'autre (d'un ou des deux côtés). C'est simple et ça évite les manœuvres d'optimisation à tout prix en tournoi…
Peut-être dois-je l'ajouter quelque part ?
Tu as raison ! encore un raté !Il me semble que vous avez multiplié les pertes deux fois, non ?
Pour rappel : les tirailleurs ApT ne bénéficient pas du feu d'arrêt puisqu'ils ont déjà le bonus « multiplier par 2 ».
En tout cas merci pour tes réponses.
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
- Messages : 291
Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonsoir Michel
Au fait, désirez-vous des ordres de bataille prussiens pour faire votre armée pour Amance ?
Cependant il aurait été bien que les tirailleurs suivent le mouvement (sauf s'ils avaient déjà bougé d'un mouvement complet), ça permet d'éviter les problèmes de mesure d'angle voire de portée.
D'autant plus, que des tirailleurs qui se déplacent à vitesse ordinaire peuvent tirer si la cible est à portée au début de leur mouvement (ou demi-mouvement).
J'ai essayé de rendre toutes les possibilités historiques pour permettre aux joueurs de jouer d'une façon réaliste et simplement, mais je n'ai peut-être pas assez insisté sur certains points. Par exemple, les tirailleurs s'arrangeaient pour être toujours à portée de tir et face à l'ennemi, donc ils peuvent réagir aux changements d'orientation de l'unité ennemie.
Il faut les mettre au contact puisqu'ils défendent un groupe d'unités (voir page 72). D'autant plus qu'il vaut mieux faire tirer toutes les figurines simultanément plutôt qu'en plusieurs groupes, car ça peut-être plus rentable (il y a des sauts dans le tableau des pertes).
Comme d'habitude, merci pour ton retour d'expérience, Michel.
Amicalement,
Thierry.
Oui et vivement les 25 et 26 mai !L'Aigle Rouennais a écrit:J'ai pu voir que ton dimanche s'était agréablement passé…
Euh… Il y en a combien des bataillons de la garde dans cette armée prussienne ?En fait, c'est un autre bataillon de Garde, on le voit mieux sur la vue d'ensemble de la photo en tête de ce paragraphe.
Au fait, désirez-vous des ordres de bataille prussiens pour faire votre armée pour Amance ?
D'accord, je comprends.En fait les tirailleurs n'ont pas bougé, c'est le bataillon prussien qui a légèrement pivoté pour éviter la zone de labours.1. Les unités au combat s'alignaient parallèlement toujours face à face.
Cependant il aurait été bien que les tirailleurs suivent le mouvement (sauf s'ils avaient déjà bougé d'un mouvement complet), ça permet d'éviter les problèmes de mesure d'angle voire de portée.
D'autant plus, que des tirailleurs qui se déplacent à vitesse ordinaire peuvent tirer si la cible est à portée au début de leur mouvement (ou demi-mouvement).
J'ai essayé de rendre toutes les possibilités historiques pour permettre aux joueurs de jouer d'une façon réaliste et simplement, mais je n'ai peut-être pas assez insisté sur certains points. Par exemple, les tirailleurs s'arrangeaient pour être toujours à portée de tir et face à l'ennemi, donc ils peuvent réagir aux changements d'orientation de l'unité ennemie.
Les bataillons dont ils sont issus sont forcément en première ligne. Si les tirailleurs tirent sur la même cible ils doivent être au contact.Ils sont issus de deux bataillons différents.2. Les tirailleurs formaient une ligne continue, surtout quand ils appartenaient à la même unité.
Ici, les deux pelotons de tirailleurs français ne sont pas alignés parallèlement face aux jägers prussiens et, apparemment, ne se contactent pas.
Il faut les mettre au contact puisqu'ils défendent un groupe d'unités (voir page 72). D'autant plus qu'il vaut mieux faire tirer toutes les figurines simultanément plutôt qu'en plusieurs groupes, car ça peut-être plus rentable (il y a des sauts dans le tableau des pertes).
Très bien.Ça ne peut pas faire de mal !Important : les unités cherchaient toujours le face-à-face, il suffit donc de soustraire les fronts pour savoir qui déborde l'autre (d'un ou des deux côtés). C'est simple et ça évite les manœuvres d'optimisation à tout prix en tournoi…
Peut-être dois-je l'ajouter quelque part ?
Comme d'habitude, merci pour ton retour d'expérience, Michel.
Amicalement,
Thierry.
Dernière édition par Thierry M. le Mer 8 Mai 2013 - 10:16, édité 2 fois (Raison : Édité parce que l'auteur a été emporté dans le tourbillon de l'Histoire (voir plus loin).)
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Thierry,
Je suis entièrement d'accord avec toi vivement le week end du 25 mai.
@+Michel.
Je suis entièrement d'accord avec toi vivement le week end du 25 mai.
Comme je te l'ai déjà dit, Stéphane c'est fait plaisir en ne jouant que des unités de la Garde. J'avoue que pour l'instant le plus important c'est de tester ta règle et surtout de voir si au sein du club elle fait l'unanimité, pour en faire la règle 1° empire que nous attendions tous depuis un "certain" temps. Dans un deuxième temps nous veillerons à ce que les listes soient plus "cohérentes" .Euh… Il y en a combien des bataillons de la garde dans cette armée prussienne ?
Merci Thierry, mais j'ai en ma possession les ODBs concernant la campagne de 1813 et 1815, nous devrions y trouver les informations nécessaires.Au fait, désirez-vous des ordres de bataille prussiens pour faire votre armée pour Amance ?
Justement, admettons que les voltigeurs aient déjà bougé de leurs mouvements total dans cette période, le bataillon Prussien se dirige vers eux dans le but de les chasser, les voltigeurs doivent donc esquiver, se replier, ou reculer, mais ce mouvement supplémentaire doit il être déduit sur la prochaine période ? (ce qui implique ,qu'ils ne pourront pas bouger lors de la période suivante).Cependant il aurait été bien que les tirailleurs suivent le mouvement (sauf s'ils avaient déjà bougé d'un mouvement complet), ça permet d'éviter les problèmes de mesure d'angle voire de portée.
Si par exemple, de la brigade Française à 5 bataillons je développe les cinq compagnies de voltigeurs en avant et que je les mets en contact pour ne former qu'une seule ligne, en admettant que dans cette brigade les colonels aient tous reçu un ordre d'attaque, si cette ligne de voltigeurs est attaquée pourra t-elle tenir comme le ferait un bataillon de légers entièrement déployé en tirailleur ou devra t-elle esquiver ?Il faut les mettre au contact puisqu'ils défendent un groupe d'unités (voir page 72
@+Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
- Messages : 291
Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel,
Le credo de « Silex & Baïonnette » est d'allier réalité du combat et aspect ludique du jeu avec figurines.
Quand le joueur pousse ses voltigeurs c'est qu'il a une idée en tête (le colonel du régiment a une attitude à respecter et le général de division un objectif à prendre).
Mais les voltigeurs sur le terrain (la table) ne voient pas les choses du même œil car en face il y a un bataillon de la garde prussienne qui avance résolument vers eux !
• Que passe-t-il dans la réalité ?
– Les mouvements sont simultanés, les unités avancent l'une vers l'autre.
– À un moment, arrivées à une certaine distance (la distance de confrontation) une des deux unités s'arrête (test de confrontation), voire repart en sens inverse (tirailleurs qui évitent le contact).
• Que se passe-t-il sur la table ?
– Le mouvement complet effectué par les voltigeurs c'est la volonté du joueur qui s'exprime, mais, en fait, ce mouvement est virtuel car il a été fait avant le mouvement du bataillon prussien.
– Les voltigeurs réagissent au mouvement d'attaque des Prussiens (approche ou charge) et reculent pour rester au-delà de la distance de confrontation.
– Comme le mouvement précédent ne représentait que la volonté du joueur et pas la réalité sur le terrain, le recul des voltigeurs face à l'avance du bataillon prussien n'est en fait qu'un retour en arrière dans le temps pour revenir au présent, c'est-à-dire à la réalité psychologique de l'affrontement sur le terrain.
• Donc, en fait, il n'y a PAS de mouvement supplémentaire, juste un aller-retour virtuel dû à la différence entre la volonté du joueur et la réalité du terrain. Si les voltigeurs n'avaient pas avancé d'un mouvement complet ils n'auraient pas été menacés par l'avance du bataillon de la garde prussienne.
Ai-je bien expliqué ?
Bon, voilà un long message, répond-il à tes attentes ?
Amitiés,
Thierry.
Je te remercie pour cette question Michel, elle est la bienvenue car elle me permet de faire une note de conception.L'Aigle Rouennais a écrit:Justement, admettons que les voltigeurs aient déjà bougé de leurs mouvements totaux dans cette période, le bataillon prussien se dirige vers eux dans le but de les chasser, les voltigeurs doivent donc esquiver, se replier, ou reculer, mais ce mouvement supplémentaire doit-il être déduit sur la prochaine période ? (ce qui implique, qu'ils ne pourront pas bouger lors de la période suivante).Cependant il aurait été bien que les tirailleurs suivent le mouvement (sauf s'ils avaient déjà bougé d'un mouvement complet), ça permet d'éviter les problèmes de mesure d'angle voire de portée.
Le credo de « Silex & Baïonnette » est d'allier réalité du combat et aspect ludique du jeu avec figurines.
Quand le joueur pousse ses voltigeurs c'est qu'il a une idée en tête (le colonel du régiment a une attitude à respecter et le général de division un objectif à prendre).
Mais les voltigeurs sur le terrain (la table) ne voient pas les choses du même œil car en face il y a un bataillon de la garde prussienne qui avance résolument vers eux !
• Que passe-t-il dans la réalité ?
– Les mouvements sont simultanés, les unités avancent l'une vers l'autre.
– À un moment, arrivées à une certaine distance (la distance de confrontation) une des deux unités s'arrête (test de confrontation), voire repart en sens inverse (tirailleurs qui évitent le contact).
• Que se passe-t-il sur la table ?
– Le mouvement complet effectué par les voltigeurs c'est la volonté du joueur qui s'exprime, mais, en fait, ce mouvement est virtuel car il a été fait avant le mouvement du bataillon prussien.
– Les voltigeurs réagissent au mouvement d'attaque des Prussiens (approche ou charge) et reculent pour rester au-delà de la distance de confrontation.
– Comme le mouvement précédent ne représentait que la volonté du joueur et pas la réalité sur le terrain, le recul des voltigeurs face à l'avance du bataillon prussien n'est en fait qu'un retour en arrière dans le temps pour revenir au présent, c'est-à-dire à la réalité psychologique de l'affrontement sur le terrain.
• Donc, en fait, il n'y a PAS de mouvement supplémentaire, juste un aller-retour virtuel dû à la différence entre la volonté du joueur et la réalité du terrain. Si les voltigeurs n'avaient pas avancé d'un mouvement complet ils n'auraient pas été menacés par l'avance du bataillon de la garde prussienne.
Ai-je bien expliqué ?
Bon, voilà un long message, répond-il à tes attentes ?
Amitiés,
Thierry.
Dernière édition par Thierry M. le Mer 8 Mai 2013 - 9:36, édité 1 fois
Re: Français contre Prussiens.
C'est ok pour moi.• Donc, en fait, il n'y a PAS de mouvement supplémentaire, juste un aller-retour virtuel dû à la différence entre la volonté du joueur et la réalité du terrain. Si les voltigeurs n'avaient pas avancé d'un mouvement complet ils n'auraient pas été menacés par l'avance du bataillon de la garde prussienne.
Ai-je bien expliqué ?
En tous cas je progresse à chacune de tes réponses il ne me reste plus qu'à appliquer tout cela en cours de jeuBon, voilà un long message, répond-il à tes attentes ?
Merci.
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel,
La nuit portant conseil, j'ai édité les messages précédents.
J'ai été emmené trop loin par mon enthousiasme à évoquer l'Histoire.
En effet, après m'être replongé dans ma documentation, je ne peux pas dire que les pelotons de voltigeurs étaient réunis en cours de bataille. Hier, je pensais à la bataille de Maida (ou Maïda). Mais en 1806 les bataillons étaient à 9 pelotons et le fait de détacher les voltigeurs n'interdisait pas de former le carré à partir de la ligne ou de toute autre formation.
De plus, autoriser le regroupement des voltigeurs en cours de partie, ça m'obligerait à reconsidérer plusieurs points de règle (déploiement, pertes, moral des bataillons composites), ce qui nécessiterait une grosse réécriture et je n'ai ni l'envie ni le temps.
Je vais donc mettre mon propos dans la partie : « Et si… en 2014 ! », en attendant d'avoir plus d'informations.
Et j'ai également commis une erreur chez les Grenadiers de l'Essonne. Toujours en pensant à Maïda (je suis en pleine écriture de l'article) j'ai autorisé le regroupement de deux pelotons de voltigeurs (le 2e bataillon était derrière le premier). C'était une erreur de ma part, les voltigeurs du bataillon de tête auraient dû se mettre en ordre étendu pour couvrir leur bataillon et l'autre peloton de voltigeurs aurait dû rester avec son bataillon.
En même temps ça simplifie la gestion des pertes et de l'éloignement à distance d'esquive.
Excusez-moi les gars pour vous avoir induit en erreur, je regrette.
Désolé pour ce changement, Michel.
Amicalement,
Thierry.
La nuit portant conseil, j'ai édité les messages précédents.
J'ai été emmené trop loin par mon enthousiasme à évoquer l'Histoire.
En effet, après m'être replongé dans ma documentation, je ne peux pas dire que les pelotons de voltigeurs étaient réunis en cours de bataille. Hier, je pensais à la bataille de Maida (ou Maïda). Mais en 1806 les bataillons étaient à 9 pelotons et le fait de détacher les voltigeurs n'interdisait pas de former le carré à partir de la ligne ou de toute autre formation.
De plus, autoriser le regroupement des voltigeurs en cours de partie, ça m'obligerait à reconsidérer plusieurs points de règle (déploiement, pertes, moral des bataillons composites), ce qui nécessiterait une grosse réécriture et je n'ai ni l'envie ni le temps.
Je vais donc mettre mon propos dans la partie : « Et si… en 2014 ! », en attendant d'avoir plus d'informations.
Et j'ai également commis une erreur chez les Grenadiers de l'Essonne. Toujours en pensant à Maïda (je suis en pleine écriture de l'article) j'ai autorisé le regroupement de deux pelotons de voltigeurs (le 2e bataillon était derrière le premier). C'était une erreur de ma part, les voltigeurs du bataillon de tête auraient dû se mettre en ordre étendu pour couvrir leur bataillon et l'autre peloton de voltigeurs aurait dû rester avec son bataillon.
En même temps ça simplifie la gestion des pertes et de l'éloignement à distance d'esquive.
Excusez-moi les gars pour vous avoir induit en erreur, je regrette.
Désolé pour ce changement, Michel.
Amicalement,
Thierry.
Dernière édition par Thierry M. le Mer 8 Mai 2013 - 19:52, édité 1 fois
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Thierry,
Il n'y a pas de problème , tu sais ce que l'on dit : il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais !!
Et puis j'étais déjà entrain de te préparer toute une série de questions notamment sur la gestion des pertes, du moral ...etc., donc nous venons de toi et moi de gagner un temps précieux.
Je comptais aussi proposer une liste anglaise 1810 (Espagne) pour le 25, 26, or je viens juste de me rendre compte que les changements de formation étaient basés sur un bataillon à 12 figurines , je pense que je dois calculer les changements de formation pour des bataillons à 20 figurines ?
@ + Michel.
Il n'y a pas de problème , tu sais ce que l'on dit : il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais !!
Et puis j'étais déjà entrain de te préparer toute une série de questions notamment sur la gestion des pertes, du moral ...etc., donc nous venons de toi et moi de gagner un temps précieux.
Je comptais aussi proposer une liste anglaise 1810 (Espagne) pour le 25, 26, or je viens juste de me rendre compte que les changements de formation étaient basés sur un bataillon à 12 figurines , je pense que je dois calculer les changements de formation pour des bataillons à 20 figurines ?
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Voici la quatrième et dernière période de notre bataille:
Commençons par le flanc gauche Français ou le choc de cavalerie a tenu toutes ses promesses .
Pour ce quatrième tour c'est le Prussien qui a obtenu l'initiative, et sur ce côté il a décidé de regrouper et de passer en ligne les deux escadrons
de son premier régiment "A&B", tandis qu'il a aligné à distance le 1° escadron de son deuxième régiment "C" lui même soutenu par le deuxième
escadron resté en arrière "D". Tous pivotant pour s'orienter en face du 8° Lancier.
Du côté des Français, Montbrun a enlève le 8° lancier et a chargé à leurs têtes.
Pendant que le 5° contournait la batterie à cheval et se plaçait pour menacer le flanc des Prussiens.
Arrêt du 8° lancier à distance de confrontation.
La batterie en phase 4 effectue un feu à mitraille avec une section de moins puisque celle ci est masquée par le 5° lancier.
Facteur de feu : 3
aléatoire : 1
mitraille 3
En dessous de la distance optimale -2
5 figurines à 5 : total 3 pertes qui viennent s'ajouter aux 4 précédemment obtenues.
Puis on passe au test de confrontation :
8° lancier Français:
Statut , troupe A : 4
aléatoire : 0
Bonus d'attaque : 5
Charisme de Montbrun : 4
Total : 13
Prussien
1° régiment "A&B" de la garde.
Statut garde :7
aléatoire : -1
Effectif (7 pp) 5/6 : -2
Ennemi menaçant le flanc : -1 (5° lancier Français)
Bonus d'attaque : 4
Débordée par de la cavalerie : -3 , pour le débord j'ai tenu compte de ta dernière simplification sur le sujet donc la cavalerie Française avait 12
figurines , les Prussiens en deux régiments n'en avaient que 11, comme "C" se trouvait en face de "3" nous avons donc estimé que le débord s'effectuait sur "A&B".
Cavalerie lourde contre Légère : 1
Par tir faisant 0.5 pp : 7 pp ce qui donne -2
Sous feu de Batterie : -1
(Nous avons oublier de compter le -1 pour intervalle non respecté, car nous avons confondu avec la distance de 2.5 cm entre escadrons du même régiment.)
Charisme du colonel : 1
Total : 3
Résultat : 10 pour les Français.
Prussien:
2° régiment "C" Garde :
Statut garde :7
aléatoire : 0
Bonus d'attaque : 4
Soutenu par un escadron du même régiment "D" : 2
Cavalerie lourde contre Légère : 1
(Nous avons oublier de compter le -1 pour intervalle non respecté, car nous avons confondu avec la distance de 2.5 cm entre escadrons du même régiment.)
Charisme du colonel : 1
Total : 15
Résultat : -2 pour les Français.
Nous avons donc résolu ce combat de cette façon :
Charge à fond de "C", déroute de 3.
Charge à fond de "1 & 2", déroute de" A&B".
Nouveau test de confrontation pour "1 &2" puisque ceux ci arrivent à distance de confrontation de la batterie à cheval prussienne qui s'était développée cette période.
Français
Statut , troupe A : 4
aléatoire : 0
Confrontation gagné : 1
Bonus d'attaque : 5
Nous n'avons pas compté le malus d'unité face à batterie puisque celle-ci bien que formée ne pouvait pas tirer, du fait qu'elle était masquée par "A&B".
Unité sans formation : -2 du fait du combat contre A&B
Charisme de Montbrun : 4
Total : 12
Batterie prussienne de la Garde :
Statut garde :7
aléatoire : 0
au moins une déroute amie : -1
intervalle non respecté : -1 la batterie était trop proche du bois !
Unité désorganisé : -1 nous avons considéré qu'elle était désorganisée par la déroute de "A&B".
Charisme du divisionnaire : 3
total : 7
Résultat : 5 pour les Français , déroute des artilleurs.
En conclusion , l'escadron "3" du 8° lancier en déroute ne pourra être récupéré (nous avons fait le test), pour les escadrons prussiens A&B , je
pense qu'il en sera de même car seul le brigadier pourra tenter de les arrêter avant qu'ils ne sortent de la table, le divisionnaire étant lui même en déroute avec les artilleurs.
Escadrons "A&B".
Statut garde :7
1/2 effectif : -5
Au moins une déroute amie : -1 pour les artilleurs
Unité sans formation : -2
Unité en déroute : -4
Charisme du brigadier : 2
Total : -2 l'unité sort de la table, je ne sais pas si le brigadier suit ?
Pour le Français il sera temps de rallier les escadrons" 1&2" sous la protection du 5° lancier.
Le Prussien devra en faire autant avec son escadron "C".
Voilà pour ce côté, Thierry j'espère que nous n'avons pas commis d'erreur !?
@ Michel.
Commençons par le flanc gauche Français ou le choc de cavalerie a tenu toutes ses promesses .
Pour ce quatrième tour c'est le Prussien qui a obtenu l'initiative, et sur ce côté il a décidé de regrouper et de passer en ligne les deux escadrons
de son premier régiment "A&B", tandis qu'il a aligné à distance le 1° escadron de son deuxième régiment "C" lui même soutenu par le deuxième
escadron resté en arrière "D". Tous pivotant pour s'orienter en face du 8° Lancier.
Du côté des Français, Montbrun a enlève le 8° lancier et a chargé à leurs têtes.
Pendant que le 5° contournait la batterie à cheval et se plaçait pour menacer le flanc des Prussiens.
Arrêt du 8° lancier à distance de confrontation.
La batterie en phase 4 effectue un feu à mitraille avec une section de moins puisque celle ci est masquée par le 5° lancier.
Facteur de feu : 3
aléatoire : 1
mitraille 3
En dessous de la distance optimale -2
5 figurines à 5 : total 3 pertes qui viennent s'ajouter aux 4 précédemment obtenues.
Puis on passe au test de confrontation :
8° lancier Français:
Statut , troupe A : 4
aléatoire : 0
Bonus d'attaque : 5
Charisme de Montbrun : 4
Total : 13
Prussien
1° régiment "A&B" de la garde.
Statut garde :7
aléatoire : -1
Effectif (7 pp) 5/6 : -2
Ennemi menaçant le flanc : -1 (5° lancier Français)
Bonus d'attaque : 4
Débordée par de la cavalerie : -3 , pour le débord j'ai tenu compte de ta dernière simplification sur le sujet donc la cavalerie Française avait 12
figurines , les Prussiens en deux régiments n'en avaient que 11, comme "C" se trouvait en face de "3" nous avons donc estimé que le débord s'effectuait sur "A&B".
Cavalerie lourde contre Légère : 1
Par tir faisant 0.5 pp : 7 pp ce qui donne -2
Sous feu de Batterie : -1
(Nous avons oublier de compter le -1 pour intervalle non respecté, car nous avons confondu avec la distance de 2.5 cm entre escadrons du même régiment.)
Charisme du colonel : 1
Total : 3
Résultat : 10 pour les Français.
Prussien:
2° régiment "C" Garde :
Statut garde :7
aléatoire : 0
Bonus d'attaque : 4
Soutenu par un escadron du même régiment "D" : 2
Cavalerie lourde contre Légère : 1
(Nous avons oublier de compter le -1 pour intervalle non respecté, car nous avons confondu avec la distance de 2.5 cm entre escadrons du même régiment.)
Charisme du colonel : 1
Total : 15
Résultat : -2 pour les Français.
Nous avons donc résolu ce combat de cette façon :
Charge à fond de "C", déroute de 3.
Charge à fond de "1 & 2", déroute de" A&B".
Nouveau test de confrontation pour "1 &2" puisque ceux ci arrivent à distance de confrontation de la batterie à cheval prussienne qui s'était développée cette période.
Français
Statut , troupe A : 4
aléatoire : 0
Confrontation gagné : 1
Bonus d'attaque : 5
Nous n'avons pas compté le malus d'unité face à batterie puisque celle-ci bien que formée ne pouvait pas tirer, du fait qu'elle était masquée par "A&B".
Unité sans formation : -2 du fait du combat contre A&B
Charisme de Montbrun : 4
Total : 12
Batterie prussienne de la Garde :
Statut garde :7
aléatoire : 0
au moins une déroute amie : -1
intervalle non respecté : -1 la batterie était trop proche du bois !
Unité désorganisé : -1 nous avons considéré qu'elle était désorganisée par la déroute de "A&B".
Charisme du divisionnaire : 3
total : 7
Résultat : 5 pour les Français , déroute des artilleurs.
En conclusion , l'escadron "3" du 8° lancier en déroute ne pourra être récupéré (nous avons fait le test), pour les escadrons prussiens A&B , je
pense qu'il en sera de même car seul le brigadier pourra tenter de les arrêter avant qu'ils ne sortent de la table, le divisionnaire étant lui même en déroute avec les artilleurs.
Escadrons "A&B".
Statut garde :7
1/2 effectif : -5
Au moins une déroute amie : -1 pour les artilleurs
Unité sans formation : -2
Unité en déroute : -4
Charisme du brigadier : 2
Total : -2 l'unité sort de la table, je ne sais pas si le brigadier suit ?
Pour le Français il sera temps de rallier les escadrons" 1&2" sous la protection du 5° lancier.
Le Prussien devra en faire autant avec son escadron "C".
Voilà pour ce côté, Thierry j'espère que nous n'avons pas commis d'erreur !?
@ Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel,
--------------
Vous voudrez bien m'excuser si j'insiste sur certains passages mais je veux être certain de bien avoir compris ce qui s'est passé, et cela m'aidera pour les éventuelles corrections. Mon commentaire est découpé afin de bien cerner chaque situation qui m’interpelle.
Si c’est bien le cas et si, comme je le suppose, les deux colonels avaient l'attitude « Attaquer », alors les escadrons prussiens de tête (et eux seuls) auraient dû charger droit devant eux puisqu’il y avait des unités ennemies dans leur champ d’action (il faut charger impérativement tout droit, donc, quitte à s'aligner une fois arrivé à distance de confrontation).
Si l'escadron est en colonne et se trouve à plus d'un demi-mouvement de l'ennemi il peut passer en ligne.
Le respect des attitudes est très important dans Silex !
Comme la mesure des distances est possible à tout moment, le non-respect de l’attitude « Attaquer » sera sanctionné en tournoi.
À suivre…
Encore merci pour ce compte rendu qui nous a tenus en haleine et m'a permis d'expliquer Silex.L'Aigle Rouennais a écrit:Voici la quatrième et dernière période de notre bataille :
--------------
Vous voudrez bien m'excuser si j'insiste sur certains passages mais je veux être certain de bien avoir compris ce qui s'est passé, et cela m'aidera pour les éventuelles corrections. Mon commentaire est découpé afin de bien cerner chaque situation qui m’interpelle.
Donc, c'est lui qui a joué en premier (il a manœuvré une brigade, puis le deuxième joueur a manœuvré une brigade, etc.)Pour ce quatrième tour c'est le Prussien qui a obtenu l'initiative…
Donc, le premier joueur a manœuvré sa brigade de cavalerie… Alors j’ai un problème ! En effet, en regardant attentivement les photos il me semble qu’il y a 40 (24 + 16) centimètres ou moins entre la cavalerie prussienne et la ligne française (constituée par la batterie et le régiment de lanciers) ?et sur ce côté il a décidé de regrouper et de passer en ligne les deux escadrons… tandis qu'il a aligné à distance le 1er escadron… Tous pivotent pour s'orienter…
Si c’est bien le cas et si, comme je le suppose, les deux colonels avaient l'attitude « Attaquer », alors les escadrons prussiens de tête (et eux seuls) auraient dû charger droit devant eux puisqu’il y avait des unités ennemies dans leur champ d’action (il faut charger impérativement tout droit, donc, quitte à s'aligner une fois arrivé à distance de confrontation).
Si l'escadron est en colonne et se trouve à plus d'un demi-mouvement de l'ennemi il peut passer en ligne.
Règle, début page 79 a écrit:• Une unité en charge ne peut pas changer de formation, sauf un escadron qui peut passer de colonne à ligne, ou vice-versa, lors du premier demi-mouvement, si aucun obstacle ne s’y oppose.
Le respect des attitudes est très important dans Silex !
Comme la mesure des distances est possible à tout moment, le non-respect de l’attitude « Attaquer » sera sanctionné en tournoi.
À suivre…
Dernière édition par Thierry M. le Mar 14 Mai 2013 - 16:42, édité 1 fois
Re: Français contre Prussiens.
Vous avez sans doute remarqué que si le mot « muraille » figure trois fois dans la règle (pages 2, 17 et 70), un régiment ou une partie de régiment en « muraille » n'a aucun bonus ni malus.
Cependant, en collant les généraux à vos murailles vous avez compté le moral du général pour le régiment (ou partie de régiment) entier, chose à laquelle je n'avais pas pensé.
Attention : les escadrons restent indépendants pour les tests de moral et de confrontation. Si un escadron à l'extrémité d'une ligne prend un feu, lui seul en subit les conséquences (effectif et sous le feu) !
Qu'arrivait-il quand Murat « enlevait » un régiment de cuirassiers ou autre ?
En fait, il ne restait pas à la tête du régiment, il s'écartait peu à peu jusqu'à laisser le régiment partir tout seul (son cheval de pure race était plus rapide que les chevaux des soldats), voilà pourquoi il « emmenait » des charges successives.
Il est arrivé à une bataille qu'il ne puisse pas le faire (rapporté par son aide de camp, donc exceptionnel) et soit resté en mêlée. Il sera dégagé par une charge emmenée par Lasalle, d'ailleurs ils se dégageront mutuellement par des charges successives lors de cette bataille.
Mais, pour les cuirassiers, il était toujours devant même s'ils ne le voyaient plus.
À propos de l'intervalle quand le régiment est en ligne :
Les escadrons français sont également espacés ; chez les Allemands et les Russes, ils sont accolés 2 à 2 et forment des divisions qui sont espacées.
La cavalerie adaptait la largeur de son front à la situation et elle se mettait aussi en échiquier et en échelon !
Vous pouvez donc serrer les escadrons (divisions) comme vous l'entendez.
C'est aussi valable entre deux régiments mais il faut quand même laisser un espace minimum de la largeur d'un socle.
Donc, je précise : quand un régiment en ligne, en échiquier ou en échelon, charge avec un officier au contact d'un de ses escadrons en charge, tous les escadrons en charge bénéficient de l'apport moral de l'officier pour le test de confrontation. Ceci que les escadrons (divisions) soient à distance d'intervalle ou non.
C'est-à-dire que Murat (Montbrun) est compté pour tous les escadrons du régiment !
À suivre…
Cependant, en collant les généraux à vos murailles vous avez compté le moral du général pour le régiment (ou partie de régiment) entier, chose à laquelle je n'avais pas pensé.
Attention : les escadrons restent indépendants pour les tests de moral et de confrontation. Si un escadron à l'extrémité d'une ligne prend un feu, lui seul en subit les conséquences (effectif et sous le feu) !
Qu'arrivait-il quand Murat « enlevait » un régiment de cuirassiers ou autre ?
En fait, il ne restait pas à la tête du régiment, il s'écartait peu à peu jusqu'à laisser le régiment partir tout seul (son cheval de pure race était plus rapide que les chevaux des soldats), voilà pourquoi il « emmenait » des charges successives.
Il est arrivé à une bataille qu'il ne puisse pas le faire (rapporté par son aide de camp, donc exceptionnel) et soit resté en mêlée. Il sera dégagé par une charge emmenée par Lasalle, d'ailleurs ils se dégageront mutuellement par des charges successives lors de cette bataille.
Mais, pour les cuirassiers, il était toujours devant même s'ils ne le voyaient plus.
À propos de l'intervalle quand le régiment est en ligne :
Les escadrons français sont également espacés ; chez les Allemands et les Russes, ils sont accolés 2 à 2 et forment des divisions qui sont espacées.
La cavalerie adaptait la largeur de son front à la situation et elle se mettait aussi en échiquier et en échelon !
Vous pouvez donc serrer les escadrons (divisions) comme vous l'entendez.
C'est aussi valable entre deux régiments mais il faut quand même laisser un espace minimum de la largeur d'un socle.
Donc, je précise : quand un régiment en ligne, en échiquier ou en échelon, charge avec un officier au contact d'un de ses escadrons en charge, tous les escadrons en charge bénéficient de l'apport moral de l'officier pour le test de confrontation. Ceci que les escadrons (divisions) soient à distance d'intervalle ou non.
C'est-à-dire que Murat (Montbrun) est compté pour tous les escadrons du régiment !
À suivre…
Dernière édition par Thierry M. le Ven 17 Mai 2013 - 14:51, édité 2 fois (Raison : Révision de mes connaissances sur la formation dite en muraille et adaptation de la règle !)
Re: Français contre Prussiens.
Aucun escadron n'a avancé tout droit en direction de l'ennemi, donc aucun escadron ne sera compté en contre-charge., et sur ce côté il a décidé de regrouper et de passer en ligne les deux escadrons de son premier régiment (A et B), tandis qu'il a aligné à distance le 1er escadron de son deuxième régiment (C) lui-même soutenu par le deuxième escadron resté en arrière (D). Tous pivotent pour s'orienter en face du 8e Lancier.
Alors, peut-être ai-je mal rédigé la règle :
Peut-être devrais-je insister sur l'avance d'un mouvement complet tout droit en direction de l'ennemi ?Règle, page 80 a écrit:B. L’unité ciblée déclare une contre-charge :
• L’unité ciblée déclare une contre-charge…
1. Si l’unité ciblée a déjà avancé cette période, elle est considérée en contre-charge. L’unité qui charge avance jusqu’à distance de confrontation.
Car ce point de règle est destiné à occulter le mouvement en alterné : l'unité qui avance droit sur l'ennemi avec l'attitude « Attaquer » sera toujours en contre-charge.
Avec Silex, les unités qui ont l'attitude « Attaquer » doivent être prêtes à charger, si elles doivent changer de formation ou s'orienter il vaut mieux qu'elles soient loin des unités ennemies.
Pour la cavalerie, la zone de vérité est de 40 centimètres à l'échelle 25 mm, c'est énorme par rapport à d'autres règles !
On ne peut pas « tripatouiller » au dernier moment comme dans certaines règles que je ne citerais pas !
---------
Bon, j'ai corrigé la règle :
Règle, page 80 a écrit:1. Si l’unité ciblée a déjà avancé d’un mouvement complet, elle est considérée en contre-charge. L’unité qui charge avance jusqu’à distance de confrontation.
2. L’unité ciblée n’a pas encore bougé cette période mais elle a l’attitude attaquer ou soutenir et a avancé d’un mouvement complet la période précédente (ou bien la charge est déclarée en première période), elle est considérée en contre-charge.
Merci les gars.Colonne verte, page 80 a écrit:• Pour amoindrir les effets du jeu alterné par brigade et du découpage en période, le mouvement précédant la déclaration de charge est pris en compte pour savoir si l’unité ciblée est en contre-charge. Il doit être complet et avoir été effectué en ligne droite.
À suivre…
Dernière édition par Thierry M. le Mar 14 Mai 2013 - 17:28, édité 1 fois
Re: Français contre Prussiens.
Je pense qu'il eut mieux valu que le 5e lanciers se place plus en oblique.Du côté des Français, Montbrun a enlevé le 8e lancier et a chargé à sa tête.
Pendant que le 5e contournait la batterie à cheval et se plaçait pour menacer le flanc des Prussiens.
Arrêt du 8e lancier à distance de confrontation.
Voir le croquis en haut de la page 39 où les escadrons sont entièrement dans la zone de flanc.
En effet, tel que je le vois sur la photo, j'ai l'impression que les escadrons prussiens (A et B) ne sont même pas dans son champ d'action.
Alors, certes, si les Prussiens avancent, ils seront dans le champ d'action du 5e lanciers, mais il faut bien que je segmente le jeu pour éviter les problèmes en compétition.
C'est une demi-section qui est masquée, soit une pièce.La batterie en phase 4 effectue un feu à mitraille avec une section de moins puisque celle-ci est masquée par le 5e lancier.
Facteur de feu : 3
Aléatoire : 1
Mitraille : 3
En dessous de la distance optimale : -2
5 figurines à 5 : total 3 pertes qui viennent s'ajouter aux 4 précédemment obtenues.
Je présume que ce n'est pas du calibre 8 ou 12.
Si c'est du calibre 6, les escadrons prussiens sont donc à moins de 32 cm.
Apparemment, vous tenez la comptabilité des pertes avec les marqueurs.
Bon, là, j'ai une question : est-ce que le 5e Lanciers est à distance de confrontation du flanc des escadrons prussiens ?Puis on passe au test de confrontation :
Si oui, nous sommes dans le cas d'une résolution automatique et les Prussiens sont prisonniers.
Donc, d'accord pour le charisme : si un officier est au contact d'un escadron en charge, tous les escadrons en charge de ce régiment ont ce bonus, qu'ils soient en ligne, en échiquier ou en échelon, à distance d'intervalle ou plus près, ou serrés en muraille.8e lancier français :
Statut, troupe A : 4
Aléatoire : 0
Bonus d'attaque : 5
Charisme de Montbrun : 4
Total : 13
-----------
Je me permets d'insister sur la notion d'unité.
Un bataillon est une unité.
Une compagnie d'artillerie (ou batterie) est une unité.
Un escadron est une unité.
C'est l'unité qui teste son moral, ainsi quand un régiment d'infanterie est en ligne de bataille et qu'un de ses bataillons est touché par un tir d'artillerie c'est le moral de ce bataillon qui en est affecté, PAS celui du régiment.
C'est la même chose pour la cavalerie, que l'escadron manœuvre en même temps que le reste du régiment ou avec l'escadron avec lequel il est endivisionné !
À suivre…
Dernière édition par Thierry M. le Ven 17 Mai 2013 - 14:54, édité 4 fois
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Thierry,
1° Tu as raison , les 2 escadrons prussiens étaient au début de la période à moins de 40 cm de la ligne française. Nous n'avions pas compris que les "attitudes" étaient impératives, de ce fait le colonel prussien a manœuvré pour charger dans les meilleures conditions.
Ceci dit je préfère cette façon de procéder, les choses sont claires et si les ordres ne sont pas adaptés la sanction est immédiate, ce qui rend cette règle encore plus "pointue" et donc encore plus intéressante mais plus difficile à maîtriser !!
2° Je me pose une question !
Deux escadrons de régiments différents séparés par des intervalles réglementaires ( 5 cm entre ces 2 escadrons) sont ils débordés sur cet intervalle par une unité ennemie en muraille (laquelle par définition n'a pas d'intervalle en son centre) ?
J'ai du mal interpréter ta simplification sur les débordements objet d'un autre post :
3°
4°
5°
Bon le moins que l'on puisse dire c'est que nous sommes encore loin de maitriser ta règle
Mais j'ai bon espoir
@ + Michel.
1° Tu as raison , les 2 escadrons prussiens étaient au début de la période à moins de 40 cm de la ligne française. Nous n'avions pas compris que les "attitudes" étaient impératives, de ce fait le colonel prussien a manœuvré pour charger dans les meilleures conditions.
Ceci dit je préfère cette façon de procéder, les choses sont claires et si les ordres ne sont pas adaptés la sanction est immédiate, ce qui rend cette règle encore plus "pointue" et donc encore plus intéressante mais plus difficile à maîtriser !!
2° Je me pose une question !
Deux escadrons de régiments différents séparés par des intervalles réglementaires ( 5 cm entre ces 2 escadrons) sont ils débordés sur cet intervalle par une unité ennemie en muraille (laquelle par définition n'a pas d'intervalle en son centre) ?
J'ai du mal interpréter ta simplification sur les débordements objet d'un autre post :
Faut il tenir compte des intervalles dans la mesure des fronts ?Important : les unités cherchaient toujours à se déborder lors des face-à-face, il suffit donc de soustraire les fronts pour savoir s’il y a zéro, un ou deux débords.*
3°
Effectivement la menace est réelle mais d'un point de vue ludique le positionnement du 5° n'est pas des plus judicieux !En effet, tel que je le vois sur la photo, j'ai l'impression que les escadrons prussiens (A et B) ne sont même pas dans son champ d'action.
Alors, certes, si les Prussiens avancent, ils seront dans le champ d'action du 5e lanciers, mais il faut bien que je segmente le jeu pour éviter les problèmes en compétition.
4°
C'est le cas de Stéphane qui jouait prussien, personnellement je préfère les marquer sur papier !Apparemment, vous tenez la comptabilité des pertes avec les marqueurs.
5°
Oui , mais comme tu le faisais remarquer les escadrons Prussiens A&B sont à peine voir hors du champs d'action du 5°.Bon, là, j'ai une question : est-ce que le 5e Lanciers est à distance de confrontation du flanc des escadrons prussiens ?
Si oui, nous sommes dans le cas d'une résolution automatique et les Prussiens sont prisonniers
Bon le moins que l'on puisse dire c'est que nous sommes encore loin de maitriser ta règle
Mais j'ai bon espoir
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel,
Je sais : je me répète, mais, vraiment, grâce à vous je vois toutes les petites choses qui coincent parce qu'elles sont mal expliquées comme les attitudes. Merci à tous les joueurs du club.
Je l'ai donc réécrit, ça ne change rien pour ceux qui ont déjà la règle, mais ça sera plus clair pour les prochains acheteurs… enfin, j'espère ?
J'ai trop vécu d'embrouilles dans les tournois : tu prépares un beau plan de manœuvre, tu déploies tes unités comme il faut, tu les avances et, là, après quelques tours de passe-passe de ton adversaire, toute ta belle mécanique est enrayée par un grain de poussière et… tu perds, avec le dégoût et la rancœur que tu peux imaginer.
Pas de ça dans Silex, celui qui n'a pas tout prévu, tout calculé dès le départ, ne pourra pas se rattraper aux branches du « tripatouillage de figurines » et de l'interprétation : « comme ça m'arrange », d'un point de règle biscornu.
La règle est écrite de la façon la plus claire et la plus historique possible (et on peut toujours me poser des questions) et tout est fait pour éviter les « petites magouilles ».
Donc, encore merci à vous qui me permettez d'approcher de cette perfection, je veux dire : « le jeu plaisir sans embrouille » !
Je sais : je me répète, mais, vraiment, grâce à vous je vois toutes les petites choses qui coincent parce qu'elles sont mal expliquées comme les attitudes. Merci à tous les joueurs du club.
C'est de ma faute, le texte de la règle n'était pas assez clair.L'Aigle Rouennais a écrit:Nous n'avions pas compris que les attitudes étaient impératives…
Je l'ai donc réécrit, ça ne change rien pour ceux qui ont déjà la règle, mais ça sera plus clair pour les prochains acheteurs… enfin, j'espère ?
Règle, page 49 a écrit:LES MARQUEURS D’ATTITUDE
• Chaque colonel reçoit un marqueur d’attitude posé sur ou à côté de son socle, s’il n’est pas visible, un test de commandement sera effectué lors de sa pose.
• Ce marqueur est retourné dès qu’une unité de son régiment est confrontée, tire ou soutient une unité d’un autre régiment.
• L’attitude du colonel détermine le comportement des unités de son régiment et leur donne des bonus tant qu’elles sont commandées.
Attention : une unité non commandée est considérée en défense si elle est dans ou derrière un obstacle. En plaine, elle peut rester immobile ou se diriger vers sa position initiale à vitesse ordinaire si elle est formée.
• Le respect de l’attitude est impératif, mais une unité en recul, retraite, déroute ou impétueuse, n’obéit plus à l’attitude de son colonel.
• Il y a cinq marqueurs d’attitude : Attaquer, Soutenir, Défendre, Réserve, Repli !
ATTAQUER :
• Le régiment ayant cette attitude va vers le camp ennemi jusqu’à ce qu’il soit en mesure d’attaquer une unité ennemie ou d’occuper un élément de terrain.
• La ou les unités de ce régiment doivent attaquer par le feu ou le mouvement* tout ennemi situé dans leur champ d’action, visible ou ayant révélé sa présence, doivent riposter par le feu ou charger si elles sont attaquées et doivent poursuivre leur mouvement si elles gagnent un test de confrontation.
Oui, je te remercie, c'était bien mon but et c'est ce qu'explique Gilles Boué dans son avant-propos.Ceci dit, je préfère cette façon de procéder, les choses sont claires et si les ordres ne sont pas adaptés, la sanction est immédiate, ce qui rend cette règle encore plus "pointue" et donc encore plus intéressante mais plus difficile à maîtriser !!
J'ai trop vécu d'embrouilles dans les tournois : tu prépares un beau plan de manœuvre, tu déploies tes unités comme il faut, tu les avances et, là, après quelques tours de passe-passe de ton adversaire, toute ta belle mécanique est enrayée par un grain de poussière et… tu perds, avec le dégoût et la rancœur que tu peux imaginer.
Pas de ça dans Silex, celui qui n'a pas tout prévu, tout calculé dès le départ, ne pourra pas se rattraper aux branches du « tripatouillage de figurines » et de l'interprétation : « comme ça m'arrange », d'un point de règle biscornu.
La règle est écrite de la façon la plus claire et la plus historique possible (et on peut toujours me poser des questions) et tout est fait pour éviter les « petites magouilles ».
Donc, encore merci à vous qui me permettez d'approcher de cette perfection, je veux dire : « le jeu plaisir sans embrouille » !
Dernière édition par Thierry M. le Ven 17 Mai 2013 - 14:28, édité 1 fois
Re: Français contre Prussiens.
Je fais juste un commentaire quand quelque chose m'interpelle, sachant que mes commentaires ne sont pas des critiques, je cherche à améliorer la compréhension de Silex, mais vous le savez déjà.
Pourquoi : « (7 PP) » ? Est-ce pour dire qu'il restait 7 figurines sur 8 ?
Vous avez très bien arbitré le front des unités lors de la confrontation entre les lanciers et la cavalerie prussienne.
– la mêlée n'a pas été calculée ? Alors l'unité n'est pas sans formation ;
– la batterie n'a pas été physiquement traversée ? Alors elle n'est pas désorganisée.
Vous avez encore du mal à vous débarrasser des réflexes des anciennes règles.
À suivre…
Bon, là, j'ai un petit souci (en dehors du fait que les escadrons auraient dû tester individuellement).Prussiens :
Effectif (7 pp) 5/6 : -2
Pourquoi : « (7 PP) » ? Est-ce pour dire qu'il restait 7 figurines sur 8 ?
Euh… le dernier tir a fait 3 PP et je n'ai pas compris d'où vient ce -2, normalement c'est -1 ?Prussiens :
Par tir faisant 0,5 PP : 7 PP ce qui donne -2
Vous avez très bien arbitré le front des unités lors de la confrontation entre les lanciers et la cavalerie prussienne.
Très bien, là, vous maîtrisez !Nouveau test de confrontation pour 1 et 2 puisque ceux-ci arrivent à distance de confrontation de la batterie à cheval prussienne qui s'était déployée cette période.
Bien vue, effectivement l'artillerie n'était pas en mesure de tirer.Français :
Statut, troupe A : 4
Aléatoire : 0
Confrontation gagnée cette période : 1
Bonus d'attaque : 5
Nous n'avons pas compté le malus d'unité face à une batterie puisque celle-ci bien que formée ne pouvait pas tirer, du fait qu'elle était masquée par A et B.
Non, l'unité est juste désorganisée parce qu'elle est en charge, elle n'est pas sans formation car elle n'a pas encore effectué la mêlée. La mêlée, s'il y en a une, n'a lieu et n'est calculée qu'à la fin du mouvement complet de l'unité qui charge à fond.Français :
Unitésans formation : -2du fait du combat contre A et B
Faites simple les amis :Batterie prussienne de la Garde :
Statut garde : 7
Aléatoire : 0
Au moins une déroute amie : -1 (oui, elle leur arrive droit dessus !)
Intervalle non respecté : -1 la batterie était trop proche du bois ! (exact, il fallait au moins 4,5 cm)Unité désorganisée : -1nous avons considéré qu'elle était désorganisée par la déroute de A et B. (non, elle n'est pas désorganisée car elle n'a pas été traversé, vous aviez eu le même cas avec les lanciers qui avaient battu deux escadrons de dragons)
– la mêlée n'a pas été calculée ? Alors l'unité n'est pas sans formation ;
– la batterie n'a pas été physiquement traversée ? Alors elle n'est pas désorganisée.
Vous avez encore du mal à vous débarrasser des réflexes des anciennes règles.
À suivre…
Dernière édition par Thierry M. le Ven 17 Mai 2013 - 15:06, édité 2 fois
Re: Français contre Prussiens.
Bonsoir Thierry,
et merci pour tous ces éclaircissements sur les différents points qui nous ont posé des problèmes.
De ce fait nous obtenions -2 car 1 perte par figurines restantes.
@ Michel.
et merci pour tous ces éclaircissements sur les différents points qui nous ont posé des problèmes.
Nous avons cumulé les pertes de la période en cours soit 3 pertes plus celle de la période précédentes soit 4 pertes, d'où le résultat erroné de 7 pertes !Bon, là, j'ai un petit souci (en dehors du fait que les escadrons auraient dû tester individuellement).
Pourquoi : « (7 PP) » ? Est-ce pour dire qu'il restait 7 figurines sur 8 ?
De ce fait nous obtenions -2 car 1 perte par figurines restantes.
@ Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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Date d'inscription : 08/02/2013
Localisation : CANTELEU
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Michel,
J'ai trouvé fortuitement un livre sur Internet à propos des charges de cavalerie en muraille ce qui m'a amené à d'autres recherches. Comme quoi il faut régulièrement chercher sur Internet car tous les jours il y a des livres qui sont scannés !
Tu verras que j'ai fait le ménage dans les messages, j'ai supprimé et ajouté.
Pour résumer :
– la charge en muraille, c'est-à-dire sans intervalle, se pratiquait encore chez certaines nations à la fin des guerres napoléoniennes ;
– les escadrons se serraient plus ou moins en fonction de la place et de la situation en général ;
– les régiments se serraient aussi mais il y avait toujours un intervalle minimum entre deux régiments, ce sera le front d'un cavalier au minimum dans Silex ;
– mon obsession de l'intervalle m'a fait oublier les lignes de cavalerie en échiquier et en échelon (qui figurent pourtant dans le livret des formations depuis 2004) !
– une unité n'est pas débordée si une unité amie se trouve à distance d'intervalle, ou si l'unité ennemie qui déborde est dans le champ d'action d'une unité amie. Ce dernier point pour rendre l'efficacité des lignes en échiquier ou en échelon.
Donc, les régiments de cavalerie peuvent être en ligne avec les intervalles normaux ou moins larges, voire sans intervalle c'est-à-dire en muraille. Ils peuvent être aussi en échiquier ou en échelon.
Dans tous les cas, les escadrons (ou leurs fractions) seront indépendants pour les tests.
Seuls les escadrons à distance de charge peuvent déclarer une charge.
Je vais peut-être attendre 2014 pour la prolongation d'une charge sur la période suivante ?
Michel, peux-tu me donner ton avis sur les messages que j'ai modifiés, merci ? (les tiens comme les miens) Merci.
Je termine la « correction » du compte rendu.
Moi, j'aurais mis les escadrons A et B sur la batterie pour récupérer la moitié des points.
Mais le 2e régiment prussien pouvait essayer de les attaquer pour sauver les canons !
Je pense que vous avez tiré des enseignements de cette partie (portée des canons, profondeur du déploiement, placement des unités avant d'arriver à distance de charge).
En tout cas, grâce à vous, j'ai encore amélioré Silex & Baïonnette dans le sens de la simplification tout en étant encore plus historique. merci les gars !
J'ai trouvé fortuitement un livre sur Internet à propos des charges de cavalerie en muraille ce qui m'a amené à d'autres recherches. Comme quoi il faut régulièrement chercher sur Internet car tous les jours il y a des livres qui sont scannés !
Tu verras que j'ai fait le ménage dans les messages, j'ai supprimé et ajouté.
Pour résumer :
– la charge en muraille, c'est-à-dire sans intervalle, se pratiquait encore chez certaines nations à la fin des guerres napoléoniennes ;
– les escadrons se serraient plus ou moins en fonction de la place et de la situation en général ;
– les régiments se serraient aussi mais il y avait toujours un intervalle minimum entre deux régiments, ce sera le front d'un cavalier au minimum dans Silex ;
– mon obsession de l'intervalle m'a fait oublier les lignes de cavalerie en échiquier et en échelon (qui figurent pourtant dans le livret des formations depuis 2004) !
– une unité n'est pas débordée si une unité amie se trouve à distance d'intervalle, ou si l'unité ennemie qui déborde est dans le champ d'action d'une unité amie. Ce dernier point pour rendre l'efficacité des lignes en échiquier ou en échelon.
Donc, les régiments de cavalerie peuvent être en ligne avec les intervalles normaux ou moins larges, voire sans intervalle c'est-à-dire en muraille. Ils peuvent être aussi en échiquier ou en échelon.
Dans tous les cas, les escadrons (ou leurs fractions) seront indépendants pour les tests.
Seuls les escadrons à distance de charge peuvent déclarer une charge.
Je vais peut-être attendre 2014 pour la prolongation d'une charge sur la période suivante ?
Michel, peux-tu me donner ton avis sur les messages que j'ai modifiés, merci ? (les tiens comme les miens) Merci.
Je n'ai pas modifié officiellement la ligne :L'Aigle Rouennais a écrit:Nous avons cumulé les pertes de la période en cours soit 3 pertes plus celle de la période précédentes soit 4 pertes, d'où le résultat erroné de 7 pertes !
De ce fait nous obtenions -2 car 1 perte par figurines restantes.
Donc, pour l'instant, c'est toujours -1.• Par tir faisant 0,5 PP par fig. concernée (1 PP/2 figs) – 1
Je termine la « correction » du compte rendu.
Non, le brigadier ne suit pas. Je n'ai pas voulu être méchant. Peut-être le devrait-il en compétition il ?En conclusion, l'escadron 3 du 8e lancier en déroute ne pourra pas être récupéré (nous avons fait le test), pour les escadrons prussiens A et B, je pense qu'il en sera de même car seul le brigadier pourra tenter de les arrêter avant qu'ils ne sortent de la table, le divisionnaire étant lui-même en déroute avec les artilleurs.
Escadrons A et B :
Statut garde : 7
1/2 effectif : -5 (1/2 effectif ? Je présume que vous avez calculé la mêlée ?)
Au moins une déroute amie : -1 pour les artilleursUnité sans formation : -2(Non, le malus SF est inclus dans le malus déroute, c'est rappelé sur l'aide de jeu)
Unité en déroute : -4
Charisme du brigadier : 2
Total : -2, l'unité sort de la table, je ne sais pas si le brigadier suit ?
Effectivement, avec un ordre « Attaquer » l'unité doit poursuivre mais la règle autorise le ralliement dès que l'escadron est désorganisé.Pour le Français il sera temps de rallier les escadrons 1 et 2 sous la protection du 5e lancier.
Le Prussien devra en faire autant avec son escadron C.
Moi, j'aurais mis les escadrons A et B sur la batterie pour récupérer la moitié des points.
Mais le 2e régiment prussien pouvait essayer de les attaquer pour sauver les canons !
Je pense que vous avez tiré des enseignements de cette partie (portée des canons, profondeur du déploiement, placement des unités avant d'arriver à distance de charge).
En tout cas, grâce à vous, j'ai encore amélioré Silex & Baïonnette dans le sens de la simplification tout en étant encore plus historique. merci les gars !
Re: Français contre Prussiens.
Bonjour Thierry
@ + Michel.
Le tout me parait clair, permet d'éclaircir quelques points de règle, j' espère que l'ensemble aidera d'autres joueurs !peux-tu me donner ton avis sur les messages que j'ai modifiés, merci ? (les tiens comme les miens) Merci.
@ + Michel.
L'Aigle Rouennais- Possesseurs S&B
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